Sunday, October 31, 2010

PDF Ebook Pourquoi je hais l'indifférence, by Antonio Gramsci

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Pourquoi je hais l'indifférence, by Antonio Gramsci

Détails sur le produit

Poche: 205 pages

Editeur : Rivages (29 août 2012)

Collection : PR.RI.PF.PHILO.

Langue : Français

ISBN-10: 2743623438

ISBN-13: 978-2743623432

Dimensions du produit:

11 x 1,4 x 17 cm

Moyenne des commentaires client :

4.0 étoiles sur 5

6 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

39.034 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

j'ai beaucoup apprécié l'ouvrage de cet opposant a Mussolini et notamment son refus de compromission au régime; il hait parailleurs les gens qui ne veulent pas s'investir dans la lutte contre le fascisme

gramsci étant communiste il y a un grand tri à faire devant cette idéologie ennemie de l'humanité, étant nationaliste j’essaie de voir dans ce qui peut servir dans ses écries, un grand tri à faire donc, toutefois quelques idées sont intéressantes et d'un point de vue historique ça reconstitue une certaine époque de l'italie

Je suis arrivé à Gramsci par les citations : "je hais l'indifférence" est une phrase qui m'a fait bousculé, et qui m'a poussé à découvrir un peu plus cet auteur. Ce qui m'intéressait n'était pas vraiment son apport historique mais ce que ses écrits pouvaient avoir d'universel : que pouvait bien me dire Gramsci, aujourd'hui ?En ce qui concerne ce recueil, j'ai dû faire la part des choses : un bon nombre de passage sont liés au contexte de l'époque, aux personnalités en place, à la politique menée (dont la guerre) et aux combats ponctuels (la grève des ouvriers de Fiat). Ceux-là ne me semblent avoir d'intérêt que pour l'historien.Certain autres passages, les plus intéressants à mes yeux, ont au contraire quelque chose d'universel :- "les indifférents" : Gramsci fustige les passifs, les non-citoyens, ceux qui ne se sentent pas concernés. Il affirme que les maux qui nous arrivent ne sont pas tant la responsabilité de quelques actifs que la passivité du plus grand nombre. Un passage qui réveille, particulièrement en ces temps de très forte abstention aux différentes élections politiques !- "Pas de tolérance pour le n'importe quoi" : Gramsci recommande la tolérance dans la discussion et la formation des opinions avec l'intolérance dans l'action. Il rejette ceux qui sont intolérants dans la discussion, mais "transigeants" dans l'action (c'est-à -dire que leurs idées ne sont suivies d'aucun acte, ce qui les range de facto dans la masse des indifférents, cf. ci-dessus). Passage brillant.Les autres passages m'ont semblé moins intéressants, car trop marqués par leur époque : ils "parlent" moins au lecteur d'aujourd'hui.J'ajoute que l'excellente préface de Martin Rueff vaut la lecture par sa mise en perspective des écrits de Gramsci.

EN COURS DE LECTURE VEUILLEZ PATIENTER UNE TRES BELLE REMONTEE HISTORIQUE DE L'HISTOIRE DE L'ITALIEDE 1920 21 DU COURANT POLITIQUE

Le livre est un recueil d’articles publiés dans des journaux socialistes en 1917 et 1918 (+ un « intrus » publié en 1921). M. Rueff, qui a traduit et préfacé le livre, a fait un travail remarquable d’annotations (sur les personnes citées par l’auteur et les figures idiomatiques italiennes) qui en facilite la lecture.Ecrits de jeunesse d’un A. Gramsci qui a moins de 30 ans, on y découvre les ébauches à partir desquelles il écrira ses célèbres Carnets de prison.Il est forcément difficile de faire la critique d’A. Gramsci tant sa vie lui confère un statut de martyr, propice à l’hagiographie : emprisonné par les fascistes en 1926 avec cette fameuse déclaration du procureur, « nous devons empêcher ce cerveau de fonctionner pendant 20 ans », il mourra en 1937 à 46 ans quelques jours après être sorti de prison.Tentons tout de même de nous livrer à cet exercice… Sur un plan historique (a minima pour ce qui concerne l’histoire du communisme), l’intérêt d’A. Gramsci est indubitable. Reste donc à savoir si, comme certains le prétendent, A. Gramsci est « actuel » au sens où il aiderait à penser au XXIème siècle. Je préfère vous en laisser juge en déclinant quelques thèmes récurrents du recueil !L’intolérance comme exigence moraleDénoncer les palabres conduisant à l’inaction ou le relativisme (le « tout se vaut »), pourquoi pas ; reste, au risque du malapropisme, un discours aux connotations “fascisantes”…« On peut être intolérant au moment d’agir parce qu’on a été tolérant dans la discussion » p. 95« Quand on est convaincu que quelqu’un se trompe, que cette personne refuse de discuter et d’apporter des preuves en alléguant que tout un chacun a le droit de penser comme il veut – on ne peut pas être tolérant. » p.96« Un clérical, un libéral qui deviennent socialistes sont autant de bombes a retardement […]. Un converti est toujours un relativiste. Il a fait une fois l’expérience de la facilité avec laquelle on peut se tromper dans ses choix de vie. » p. 88Un troublant mélange de lucidité et de naïvetéComme l’illustre les extraits suivants, A. Gramsci peut se montrer acerbe et lucide dans son (auto-)critique des socialistes. Au delà , A. Gramsci est plutôt dans la confirmation de la maxime « La critique est aisée mais l’art est difficile ». En effet, on reste peu convaincu par des remèdes tels que « le travail d’intériorisation » ou la création d’un organe de contrôle désintéressé (qualifier cet organe de « désintéressé » étant un peu court pour justifier en quoi il fonctionnerait mieux que d’autres quand, dixit A. Gramsci, « dans l’organisation bourgeoise de la société italienne, il y a des instituts de contrôle qui ne fonctionnent pas » p.148).Peut être A. Gramsci a inconsciemment réalisé qu’il ne proposait rien de très convaincant ou utile et finit donc par une pirouette peu engageante ( « on envisagera une solution »…).« Nous payons ainsi notre légèreté d’hier, notre superficialité d’hier. Ayant perdu l’habitude de penser […]. Inconsciemment nous étions des mystiques. » p. 197« un grand travail doit encore être mené parmi nous autres socialistes : un travail d’intériorisation, un travail d’intensification de la vie morale. » p.199« Dans la vie complexe du mouvement prolétaire, il manque un organe […]. Il devrait y avoir, à côté du journal, des organisations économiques, du parti politique, un organe de contrôle désintéressé »« avec l’aide des camarades de bonne volonté on envisagera une solution et on indiquera une voie à suivre » p. 200Dans la même veine, A. Gramsci peut se montrer lucide sur les prolétaires (pas altruistes) mais naïf en supposant que convergence d’intérêt implique nécessairement coopération (au risque de l’anachronisme, le dilemme du prisonnier en est un contre-exemple simple) et en prêtant de la noblesse à une telle coopération.« Les prolétaires ne sont certainement pas altruistes […]. Mais l’égoïsme du prolétariat est anobli par la conscience qu’ont les prolétaires qu’ils ne pourront le satisfaire pleinement tant que les autres individus de leur classe ne l’auront satisfait. C’est pourquoi l’égoïsme prolétaire crée immédiatement une solidarité de classe. » p. 84La détestation de l’ItalieDans sa critique de l’Italie, Gramsci –si il n’était pas italien- pourrait apparaître comme, au mieux caricatural, au pire italophobe. Finalement, on retrouve les remontrances « classiques » qu’on a expliquées avoir suscité l’émergence du pouvoir fasciste. On a donc un florilège où on s ‘agace des trains qui n’arrivent pas à l’heure et autres :* « En Italie, les partis de gouvernement ne peuvent de tels [grands] homes: il n’y en a pas un qui soit grand, pas un qui soit même médiocre. » p. 62* « [l’Italie] un pays ou personne ne fait des affaires, où les gens ne travaillent pas » p. 142* Une anecdote qui, selon A. Gramsci, atteste de la mentalité bourgeoise italienne et de son infériorité ; il s’agit d’un italien interpellant un policier à Hyde Park parce qu’il reste sans intervenir face à la harangue d’un anarchiste . « ‘je suis ici pour empêcher de parler tous ceux qui, comme vous, voudraient supprimer la liberté de parole’. Un policer anglais qui donne une leçon de libéralisme a un professeur d’université italien » p. 144Comme quoi, lorsqu’il s’agit de critiquer le bourgeois italien, le communiste A. Gramsci fait feu de tout bois, y compris en faisant l’apologie du libéralisme anglais !L’exécration de la démocratie« La foule, en tant qu’elle est faite d’individus, non pas la foule comme peuple, cette idole des démocraties. » p. 64« La mentalité démocratique, qui est comme un gaz putride dans l’organisme » p. 204En somme, on pense souvent à la formule de Talleyrand -« Tout ce qui est excessif est insignifiant. »- quand la force du propos laisse plus poindre la rage et/ou la haine que la subtilité (e.g. « débris sociaux que sont les commerçants » p.112). Mais, on peut avoir tendance à « pardonner » ces excès, compte tenu du contexte historique, du support (l’article de journal et sa brièveté) et de quelques belles saillies comme cette définition des nationalistes « ces hommes donc, qui Narcisses d’un nouveau genre, n’ayant pas de vie privée et ne comprenant rien aux pays, prétendent s’admirer dans le groupe humain auquel ils appartiennent et se confondent ainsi avec la nation. » p. 190 (pour les amateurs, on notera une belle antonomase mise en relief par un pluriel)

Cette indifférence, traduite en lâcheté - manque de couilles - aujourd'hui, ne le laisserait pas indifférent, c'est certain. Il avait raison, il a encore plus raison aujourd'hui. On n'a plus de Gramsci.

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